Beau-Champ : un village connecté avec l’âme et la beauté sauvage de l’Est

Un village intégré et qui reste connecté avec l’âme et la beauté sauvage de la région de l’Est. C’est le pari fou que s’est lancée l’équipe d’Anahita Beau Champ. Mené par le groupe Alteo sur 118 hectares de terres, le développement d’Anahita Beau Champ est une extension de la destination Anahita. Régi par les règles du Smart City Scheme (SCS), le projet combine ainsi 50 % d’espaces résidentiels et 50 % de Mixed Use (commerces, écoles, loisirs…). Ainsi pas moins d’une dizaine d’hectares seront dédiées à la construction de promenades piétonnes, de parcs naturels et d’esplanades aux commerces divers, tous ouverts au public. Nous avons, pu le temps d’un reportage, découvrir cette “Smart City d’un autre type.

- Publicité -

Une oasis à protéger à tout prix. C’est ce que nous eu l’occasion de découvrir, mercredi après-midi, lors d’une visite du site d’Anahita Beau Champ, qui comprendra dans quelques années, une cinquantaine de lots résidentiels, des espaces bureaux, une longue promenade et un parc naturel, entre autres.

Ce projet de Smart City est en gestation depuis près de trois ans

Si tout va bien, Anahita Beau Champ a aussi pour projet de construire un complexe éducatif, “toujours dans l’esprit de l’Est et c’est pour cela, que nous faisons les choses petit à petit”, nous confie David Martial, Chief Executive Officer (CEO) du pôle Immobilier d’Alteo et d’Anahita Mauritius. Les choses avancent ainsi au rythme de l’Est, avec cet espèce de nonchalance qui fait d’ailleurs tout son charme.

« Le temps file différemment dans l’Est, en effet », lance Cyril Bougaux, directeur Marketing d’Anahita, lui aussi présent lors de la visite. En effet, à l’Est, les gens ne sont pas pressés. Dans le cadre de ce reportage, nous avons eu l’occasion de faire le trajet Curepipe-Beau Champ en voiture, en passant par les villages de Clémencia, de Belle Rose (oui, il y en a un autre dans l’Est, croyez-nous !) et d’Ernest Florent.

Le dépaysement est total loin des autoroutes à trois voies où les bâtiments à plusieurs étages. « Il est vrai que le Sud et l’Est sont un peu les régions auxquelles l’on pense le moins quand on parle de développement foncier, voire touristique, et pourtant ces régions ont quelque chose d’incroyable à proposer », explique David Martial. Il ajoute d’ailleurs que c’est un peu en épousant la culture et la topographie de l’Est, qu’Anahita a su se faire une si grande place dans la région.

Garder le cachet naturel

En effet, au-delà de l’aspect immobilier, le groupe Alteo a souhaité, avant tout, proposer un nouveau concept de vie, tout en cassant les préjugés qui pourraient exister autour des Smart Cities . “Il est vrai que quand on entend Smart City, l’on pense tout de suite à Ebène et aux grands blocs de bâtiment, mais après il y a de très bons projets de Smart Cities, dont celui de Moka ou encore de Ferney qui vont un peu dans cette même ligne de pensée, qui est d’apporter une valeur ajoutée à quelque chose qui existe déjà”, ajoute David Martial.

Il souligneque le projet a pour but d’exploiter de manière durable, un site qui ne pouvait plus donner grand-chose, dont les terres longtemps occupées par la canne, tout en gardant le cachet naturel et authentique. Ainsi, le projet immobilier d’Anahita Beau Champ se construit sur les contours de l’ancienne usine sucrière de Deep River Beau Champ et tout reste en place !

Des arbres endémiques dont ceux de « pommes zako » habilleront les allées et jardin du village intégré

“Tout ce que vous voyez là, va rester là, même les réservoirs à mélasse. Nous allons construire par-dessus, en gardant au maximum le cachet authentique des bâtiments”, dit-il. Les anciens réservoirs se transformeront ainsi en un espace de détente, le Zeste, avec des cafés, des commerces et surtout un espace de vie pour prendre l’air frais… L’usine elle, sera un espace dédié aux bureaux, au sport, et autres.

Une pépinière au coeur du site

« Il y avait cette volonté de préserver le patrimoine et de garder au maximum ce qui reste de ce cadre magnifique », trouve David Martial. Idem pour les arbres, qui ne bougent pas ! En même temps, vu le cadre et l’histoire des lieux, cela aurait été du gâchis.

Autre détail qui fait toute la différence, c’est la pépinière d’Anahita Beau Champ, ou Junior, le pépiniériste, veille sur ses 3 500 plantes endémiques, qui seront toutes mises en terre une fois prêtes. Une bonne partie a déjà pris place sur les 118 hectares de terrain… dans le but de garder intacte la beauté sauvage et naturelle de Beau-Champ.

Par ailleurs, autre concept qu’Alteo souhaite mettre en place, est une sorte de mode vie collaborative, avec un accent prononcé sur l’agriculture raisonnée, une forme d’agroécologie qui permettrait d’une part de conserver les plantes endémiques de l’île et d’autre part de fournir le village en légumes et fruits de saison. “Nous développons aussi une working farm où nous allons planter des fruits et légumes d’antan”, dit David Martial. Les résidents et les visiteurs pourront ainsi (re)découvrir les arbres de « pommes zako » ou encore les caramboliers de jadis.

Par ailleurs, David Martial met un point d’honneur sur l’aspect environnemental. “Toutes les zones sensibles, les wetlands, et autres, on n’y touche pas.” En effet, la petite vallée nichée au coeur de la propriété d’Anahita Beau Champ sera convertie en parc naturel, ou d’aucuns pourront venir “casser une pause”, histoire de se déconnecter du train-train quotidien… Et il faut dire que même là, lors de ce reportage, rien qu’en se projetant, la zénitude était bien présente. En même temps, travailler et vivre avec vue sur vallée, c’est une expérience à faire, au moins une fois dans sa vie !

Notre visite se poursuit. Après avoir emprunté la belle promenade piétonne, pièce centrale du village d’Anahita Beau Champ, nous découvrons une autre petite oasis, absolument incongrue, car l’on serait loin de se douter qu’un tel endroit existerait ici. Il s’agit du Spring Area, ou plus communément connu comme “le basin kamaron.”

Le site, actuellement, inutilisé, sera transformé en petit parc naturel où les résidents, les habitants de la région et les employés des bureaux pourront venir déjeuner le midi. Abrités par une canopée d’arbres – qui précisons-le ne bougeront pas-, des petits bassins centenaires, voire plus, emplis d’histoires et malheureusement pas de camarons, seront convertis en bassins de tilapias ou autres.

La visite s’achève avec le « basin kamaron ». Ainsi, tout le long de la promenade, se dessineront des lots résidentiels, qui ont été pensés pour s’intégrer au cadre. Ainsi, pas de séparations en béton massif, mais des haies de cloison naturelles ! De plus, des feuilles de tôle sont utilisées pour habiller les résidences qui dépassent pas les deux étages, pour encore une fois ne pas être en décalage avec l’environnement sauvage de l’Est… Un véritable petit bijou.

Il faut noter que L’Echo des Champs, la première phase du projet, comprend 15 appartements modernes répartis en 3 résidences au sein du domaine et 7 villas en VEFA (sur plan), imaginés par Bérengère Croidieu, architecte basée à L’île Maurice. De plus, deux types de villas conceptualisées en fonction de l’orientation et de la topographie des terrains sont proposés dans cette première phase : les villas Demera modèle 2, aux espaces de vie forts d’une double orientation nord-sud et les villas Demera modèle 4 avec vue dégagée et architecture privilégiant l’ouverture sur l’extérieur et les grands volumes.

31 terrains à bâtir de 900 à 1 700 m2 offrent quant à eux l’opportunité de faire construire sa villa selon ses envies et son budget, en respectant le cahier des charges en vigueur dans le domaine. Aussi, le domaine comptera des structures allant de la crèche au secondaire, ainsi qu’un centre médical, aux normes internationales. La seconde phase de lancement offrira d’autres choix de villas sur plan, notamment, les villas Demera Signatures et les villas Demera modèle 3, aux mêmes caractéristiques que les modèles, mais dans une version plus petite et intime.

- Publicité -
EN CONTINU

l'édition du jour

- Publicité -