Le move de l’ICAC diversement commenté

La posture adoptée par le conseil légal de l’Independent Commission Against Corruption (ICAC), Me Atish Roopchand, devant le juge Iqbal Maghooa, siégeant en référé dans l’affaire Chavan Dabeedin, est diversement commentée.

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L’homme de loi de la Commission anti-corruption a souligné le conflit entre le commissaire de police, Anil Kumar Dip, et le Directeur des poursuites publiques (DPP), Me Rashid Ahmine, en faisant ressortir qu’il devait comprendre comment Me Roshan Santokee, Principal State Counsel, du bureau du DPP, puisse assister le CP alors que ce dernier affirme que le DPP aurait outrepassé ses pouvoirs constitutionnels dans le cas Laurette.

Les milieux institutionnels affirment qu’il semblerait que subtilement, le directeur général Navin Beekarry a taclé le CP en forçant ce dernier à s’affirmer au sujet de la représentation légale de l’ICAC. Ce move intervient avec la décision de l’ICAC de poursuivre au pénal le fils du CP, Chandra Dip, et qu’en contrepartie, le CCID a un Live Case sur un cas de Forgery de documents au niveau de la commission anti-corruption, avec en toile de fond la rénovation du bureau du patron de l’ICAC.

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