Le retour des revenants

Ils avaient quitté, pas toujours dans de bonnes conditions, leurs fonctions et font les pressions nécessaires pour les reprendre. Commençons par le CEB, dont un CEO avait été renvoyé par une instance disciplinaire pour faute grave. Non satisfait, il avait fait appel du verdict, mais n’avait pas obtenu gain de cause. Avec le changement de gouvernement, il fait des pieds et des mains pour revenir à la tête du CEB, au grand désespoir de ceux qui ont eu l’occasion de travailler avec lui.

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Le pire c’est qu’il semblerait que les pressions politiques vont finir par l’emporter et qu’il sera renommé en dépit de sa condamnation.
Des manoeuvres sont en cours dans le port pour faire partir une responsable, qui après avoir été suspendue avait fini par retrouver son poste. On est en train de s’organiser pour quelle soit mutée et libère ainsi la place pour un autre candidat. Ce quelqu’un d’autre serait un membre du PTr qui pourrait, comme celui du CEB, retrouver « sa » place. Ce candidat à sa propre succession, après au moins dix ans, s’était rendu célèbre en déclarant qu’il avait été obligé d’acheter une automobile de luxe comme voiture de fonction à cause de ses longues jambes…

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