OVEC : Quinze ans au service des jeunes

Crée en 2002, l’Overseas Education Centre (OVEC) fête cette année ses 15 ans d’existence. Ces 15 années passées au service des jeunes souhaitant poursuivre des études supérieures à l’étranger auront été un véritable défi pour la directrice, le Dr Dorish Chitson, qui affirme que l’OVEC est devenu aujourd’hui un centre de référence pour la plupart des jeunes Mauriciens. L’ouverture de son premier salon de l’étudiant hier matin au siège de la MCB a été couplée hier soir par la célébration du 15e anniversaire de l’OVEC au Club Hua Lien, à Trianon.
S’il existe plusieurs agents à travers l’île, l’OVEC se dit être bien plus qu’un simple bureau d’agents qui recrutent des étudiants pour aller étudier à l’étranger. Durant ces 15 années, souligne Dorish Chitson, l’OVEC s’est démarqué et s’est positionné comme un centre de “counselling” pour étudiants. « Notre travail ne s’arrête pas au recrutement des étudiants. Nous cheminons avec l’étudiant tout au long de son parcours éducatif et nous nous assurons que l’université reste à la hauteur des attentes des parents », soutient-elle. Pour marquer ces 15 ans d’existence, l’OVEC tiendra un dîner de gala ce soir au Club Hua Lien. « L’occasion est propice car pratiquement tous nos représentants universitaires avec qui nous avons tissé des liens solides seront présents », indique le Dr Chitson. L’événement sera aussi marqué par la présence de la ministre de l’Éducation, Leela Devi Dookun, et les ministres Ivan Collendavelloo et Raj Dayal.
Créé en 2002, l’OVEC est l’une des premières agences à fournir des services gratuits et très adaptés aux étudiants. « Nous avons un grand sentiment de responsabilité envers eux et les guidons dans leurs démarches », affirme la directrice. L’OVEC est passée d’une entreprise d’une personne envoyant huit étudiants par an à l’étranger à un personnel de 9 personnes s’occupant de centaines d’étudiants par an. Il a de plus permis l’ouverture à de nouvelles destinations. De plus, l’OVEC a été le premier centre à démarrer des relations avec les universités chinoises, aujourd’hui très demandées. « Fournir le service le plus efficace et le plus transparent est d’une importance primordiale pour nous. De même, il est crucial qu’avec l’expansion, aucun étudiant ne se sente délaissé », déclare Dorish Chitson, PhD. Cette dernière a une formation pluridisciplinaire et a commencé par un diplôme universitaire en histoire et géographie avant de continuer avec la géographie et le droit jusqu’à un diplôme de maîtrise et de terminer avec un doctorat en sciences sociales du développement. Elle a aussi un diplôme de troisième cycle en études de gestion à partir de Londres. Le Dr Dorish Chitson compte plus de 25 ans d’expérience dans le domaine de l’éducation. Elle a ainsi travaillé dans la plupart des couvents Loreto, à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, et a mis en place le département d’études sociales à l’École internationale du Bocage.
Au niveau du tertiaire, elle a collaboré avec l’Université de Maurice dans divers projets et présenté des documents de recherche à des conférences internationales. Elle a également effectué des recherches à l’Institut Mahatma Gandhi sur une bourse de recherche post-doctorale de la Tertiary Education Commission. Ses travaux de recherche sur « L’Histoire sociale des lois du travail à Maurice » ont  été publiés dans des revues d’études mauriciennes.
En 2011, l’OVEC a remporté le Prix International Quality Crown, qui a été donné à Londres pour l’excellence en entreprise. En novembre 2013, le Dr Dorish Chitson a obtenu le Life Time Achievement Award dans le cadre des plus influentes Prix Femmes de l’Afrique pour ses 40 ans d’expérience et son engagement à des causes éducatives. La philosophie de base de l’OVEC est de fournir aux étudiants les possibilités de poursuivre leurs études dans les meilleures universités de renom. L’OVEC représente l’Australie, le Canada, la Chine, l’Inde, l’Irlande, la Malaisie, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud, Singapour, le Royaume-Uni et les Etats-Unis. Le centre est réputé non seulement pour ses procédures fiables, rapides et efficaces, mais aussi pour ses services éthiques et personnalisés. En 2008, Franky Chitson, le fils de Dorish Chitso, a quitté son emploi d’ingénieur pour rejoindre l’OVEC. Il est en charge du marché asiatique et gère le bureau de Port-Louis.

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