RÉSEAUX SOCIAUX : Le comportement des Mauriciens sur Facebook analysé

Combien d’entre nous lisons cet article en vérifiant en même temps notre page Facebook ? Les Mauriciens raffolent des réseaux sociaux. C’est ce que nous confirment les jeunes professionnels de Panda & Wolf, qui ont mené durant deux semaines une petite enquête sur notre comportement relatif aux réseaux sociaux. Incursion dans l’univers intime des Facebookers mauriciens.
« La formation est là, nous avons les outils, mais personne n’a jamais eu l’idée de publier une telle étude. Ce rapport servira aux entreprises, aux décideurs, aux curieux, à tous. Il aidera à mieux comprendre le comportement des Mauriciens en ligne », nous explique Stéphane Augustin, Business Development Executive chez Panda & Wolf. Si l’équipe travaille sur d’autres rapports, les jeunes de Panda & Wolf attendent avant tout la réaction des gens pour aller de l’avant.
Ainsi, sur un échantillon de 600 000 à 700 000 utilisateurs mauriciens de Facebook, il y aurait plus d’hommes, soit 54%, que de femmes de 46%. Quant aux jeunes âgés entre 25 et 34 ans, homme, et femmes confondus, ils seraient les plus gros utilisateurs de Facebook (voir illustration ci-dessous). Chez les seniors, 3% d’hommes de plus de 65 ans auraient une page Facebook, alors que l’on compte 2% du côté des femmes. À noter que les femmes sont plus nombreuses à poster des photos sur la plate-forme avec un pourcentage de 60% contre 40% chez les hommes. Et ce sont les 25-34 ans à le faire le plus souvent. Chez les jeunes, seuls 4% seraient intéressés à rejoindre la fonction publique. C’est a priori le secteur “management” qui aurait la cote avec 35% de jeunes intéressés.
Aussi, le rapport publié donne plusieurs indications sur le comportement des acheteurs mauriciens en ligne, par exemple. Des informations essentielles pour étudier l’évolution du consommateur mauricien mais aussi pour aider les entreprises à mieux cibler leurs clients potentiels. « Nous travaillons également sur des rapports sur mesure et pensons publier d’autres études de ce genre », ajoute Stéphane Augustin.
 

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