UNE HISTOIRE D’ANIMAUX ET DE MALADES MENTAUX Lettre ouverte à l’intellectuellement “illimité” (sic)

En tant qu’ancien journaliste je me devais d’écrire ces quelques mots à l’intention de notre cher “intellectuellement illimité” (sic), en signe de mise au point à l’agression dont j’ai été victime après avoir pris connaissance de certains propos execrables à l’encontre des hommes et femmes de la presse qui bossent dur matin et soir. Une agression qui a touché non seulement les membres de la presse même et leurs proches mais aussi toute la nation. Comment réagiraient les instances internationales quant à vos propos inacceptables sur les VRAIS GARANTS de cette démocratie (qui s’effrite de jour en jour sous la houlette de personnalités de votre espèce) ?
Je ne suis pas membre de l’Opposition. Je ne vous demanderai pas de démissionner en me basant sur votre degré de “compétence” ou non… Moi qui ai quand même une connaissance certaine de la sociopolitique sait que le pays en a marre de votre irresponsabilité dans le traitement supra intellectuel (sic) de certaines affaires de la cité. Il s’agit là du cri de coeur d’un citoyen qui n’est pas aveuglé par des barrières politiques et communautaristes.
Outre le fait qu’à mon sens vous n’ayez pas été à la hauteur de vos responsabilités suite aux récents événements dramatiques qui ont marqué le pays, vous vous permettez de traiter les journalistes de « zanimo » et de « malades mentaux ». Vous semblez avoir un problème pour vous exprimer… on le sait bien ! D’accord, vous vous êtes excusé à la suite de votre monumentale gaffe. Vous avez au moins ce mérite-là. Mais il ne faut pas exagérer non plus.
N’oubliez pas que les bons journalistes font leur travail sans laisser leurs sentiments prendre le dessus sur la raison ; quand il s’agit de rapporter les faits, l’exercice est d’autant plus difficile quand son interlocuteur tient des propos des plus incohérents…
Cher “intellectuellement illimité” (sic, pardonnez-moi !), vous aimez être sous les feux des projecteurs mais semble-t-il, pour mieux vous brûler les ailes ! Et c’est loin d’être terminé…

- Publicité -
EN CONTINU

l'édition du jour

- Publicité -