À qui profite une pandémie ?

BERNARD BARBE

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Depuis plus de trois semaines, un groupe de parlementaires européens, incluant Christine Anderson et Robert Roos, sous l’égide du COVI Committee, ont interrogé différents dirigeants des firmes pharmaceutiques. À leur étonnement, la directrice exécutive de Pfizer leur a répondu qu’aucun test n’a été effectué sur l’immunisation ou la transmission de la maladie, avant la mise sur le marché de leur vaccin. Pour Pfizer, il était impératif de « move at the speed of Science ! » Ce qui a écarté la considération de sécurité de leur médicament au profit de leur stratégie de pénétration du marché et de leurs bénéfices. Il s’agit d’une situation choquante, puisque toute la stratégie vaccinale mondiale a été influencée par la pression que les compagnies pharmaceutiques ont exercée sur des organismes, dont la CDC ou la FDA. Ceci devrait susciter un changement radical quant à la manière dont nous gérons le Covid dans le pays. À moins que nos dirigeants ne se soient pas déjà pervertis dans une corruption aiguë, à l’instar de Pfizer qui, rappelons-le, a été épinglé pour corruption et a un passé rempli de procès.

Comme dans la plupart des pays, une personne n’est considérée entièrement vaccinée qu’au moment où elle a reçu sa booster dose. Au cas contraire, même si elle a reçu une ou deux doses – et d’ores et déjà, nous le savons – l’immunité qu’offre le vaccin ne dépasse pas les six mois. Ce qui amène à dire que la personne ne l’est plus, passé cette période. Alors, pourquoi vouloir faire croire qu’un certain taux de mortalité concerne majoritairement les personnes qui ne se sont pas vaccinées ou ne se sont jamais fait vacciner pour le Covid ?
Il est déplorable qu’aujourd’hui de nombreux médecins et de soignants ne tirent la sonnette d’alarme et rétablisse la vérité à propos de ce qui se passe. Nous leur rappelons qu’ils et elles ont prêté le serment d’Hippocrate, et doivent par là même défendre la vie.
Néanmoins, satisfaisons-nous, un petit groupe de médecins et soignants mauriciens aux côtés de la prodigieuse scientifique de l’Institut Simplissima, la Professeure Alexandra Henrion-Caude, a signé la Déclaration de Crise Médicale Internationale due aux Maladies et Décès co-liés aux Vaccins Covid. Nous en profitons pour les remercier pour leur courage, leur clairvoyance et leur engagement pour la vie.

Revenons à cette déclaration. Elle précise la surmortalité dans les pays où la majorité de la population a été inoculée. Les signataires – qui regroupent des milliers de médecins et scientifiques  – déclarent à juste titre qu’il y a « une grave crise médicale internationale qui doit être acceptée et traitée comme critique par tous les États, les institutions de santé et le personnel médical du monde entier ».

En l’occurrence, ils demandent :
1. Un « arrêt » mondial des campagnes nationales d’inoculation avec les produits connus sous le nom de « vaccins COVID-19 ».
2. Enquête sur toutes les morts subites de personnes qui étaient en bonne santé avant l’inoculation.
3. Mise en place de programmes de détection précoce des événements cardiovasculaires pouvant entraîner des morts subites avec des analyses telles que les D-dimères et la troponine, chez tous ceux qui ont été inoculés avec les produits dits « vaccins COVID-19 », ainsi que la détection précoce de tumeurs graves.
4. Mise en œuvre de programmes de recherche et de traitement pour les victimes d’effets indésirables après avoir reçu le soi-disant « vaccin COVID-19 ».
5. Entreprendre des analyses de la composition des flacons de Pfizer, Moderna, Astra Zeneca, Janssen, Sinovac, Sputnik V et de tout autre produit dit « vaccins COVID-19 », par des groupes de recherche indépendants sans affiliation à des sociétés pharmaceutiques, ni aucun conflit d’intérêts.
6. Des études à mener sur les interactions entre les différents composants des vaccins dits « COVID-19 » et leurs effets moléculaires, cellulaires et biologiques.
7. Mise en place de programmes d’aide psychologique et d’indemnisation pour toute personne ayant développé une maladie ou un handicap à la suite des soi-disant « vaccins COVID-19 ».
8. Mise en place et promotion de programmes d’aide psychologique et d’indemnisation des membres de la famille de toute personne décédée des suites de l’inoculation du produit dit « vaccin Covid-19 ». (Source : https://medicalcrisisdeclaration.com)
Quelques questions qu’il serait bon de se poser : combien d’avortements subis par inoculation du vaccin ont été rapportés au niveau de la pharmacovigilance de Maurice ? Combien de personnes inoculées ont rapporté les syndromes de Guillain Barré, de myocardite, de péricardite, d’inflammation multi-syndromes ou d’autres effets secondaires ?

Pour que le mensonge soit accepté, il faut écarter la vérité, la cacher, le temps que le forfait soit accompli. C’est ainsi qu’une information aussi cruciale que cette déclaration ainsi que celle de Barrington et d’autres alertes de la part de scientifiques et médecins à travers le monde ont été dissimulées par certains qui tiennent les médias. Tout comme la gravité de cette information provenant du Comité COVI.
La confiance en la science, dans la médecine et dans ceux qui la pratiquent risque d’être rompue si ceux qui sont censés les représenter se muent dans le silence et dans la complaisance.
C’est dire combien le Freedom of Infomation Act est nécessaire pour mettre en lumière toute l’étendue de ce qui s’est passé chez nous.
Cette situation de non-transparence que les autorités sanitaires mauriciennes tiennent à garder nous rend davantage perplexes. Nous ne pouvons que nous poser inlassablement la question : à qui profite une pandémie ?

Pourvu que nous puissions trouver la réponse avant la prochaine p(l)andémie !

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