On s’attendait à une profusion de couleurs, des mannequins se la jouant Grace Kelly ou Marilyn Monroe… Si Body & Soul a raté le coche au niveau de certains mannequins qui n’ont pu faire le déplacement, en revanche, la marque a marqué le coup en conviant ses clients à l’avant-première de The Wolverine in 3D. C’était hier soir au cinéma Star à Bagatelle. Le tapis rouge a été déroulé et on peut vous garantir qu’on ne pouvait trouver meilleure touche glam pour apprécier ce film avec en tête d’affiche le sémillant Hugh Jackman.
Dans le concept de Body & Soul, en matière de style, la touche des créateurs repose en premier lieu sur une mode personnalisée. Le client, qu’importe sa tranche d’âge, trouve toujours matière à son goût. On saluera au passage la fluidité des vêtements et cette explosion de couleurs très in, oscillant entre le rouge passion, le bleu cobalt, la couleur vin.
La spécialité de ce magasin est de dessiner des modèles qui s’articulent autour de la haute couture. Et Mary-Line Chaiman, responsable de l’équipe de design, l’a bien compris : la mode s’oriente surtout autour de l’originalité, la créativité et les couleurs qui donnent vie à la matière.
Chez Body & Soul, on a su capter l’essence même de la mode, qui est versatile. Il faut juste savoir l’interpréter et la réactualiser. Originale, esthétique et confortable, Body & Soul, comme son nom l’indique, apporte une mode près du corps, un effleurement qui procure à la femme une touche de féminité. Audacieuse, parfois un brin sexy, cette marque se fraie un chemin dans le coeur de ses clients pour le moins privilégiés. Car, se voir convier à l’avant-première de The Wolverine 3D, fallait oser se la jouer star, tout en permettant à ses clients d’être des privilégiés, d’où le thème de la soirée « Feel like a Star ».
Kelly Wong, directrice Marketing de Body & Soul, est d’avis qu’il est temps que la mode devienne une Fashion Destination. Et, en combinant la mode au cinéma à l’occasion de la projection de The Wolverine 3D, c’était garantir le succès de cette soirée hier. Sans fla-fla, tout en nuances dans une atmosphère de franche cordialité, ceux qui ont répondu à l’invitation n’ont pas été déçus.
Accordez-vous deux heures de pause, histoire de voir ce film car Wolverine, du réalisateur James Mangold, vaut grandement le détour.
“THE WOLVERINE” : Quand la mode flirte avec le cinéma
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