NON CONTENT D’UNE INFORMATION DE WEEK-END : L’attaché de presse de Sawmynaden s’emporte

L’attaché de presse du ministre de la Jeunesse et des Sports est semble-t-il un tantinet plus susceptible que son ministre lui-même. Hier Alwin Sungeelee a cru avoir au bout du fil un de ses sous-fifres du 3e étage de l’Emmnauel Anquetil Building ou sans doute un nommé politique alors qu’il se trouve actuellement au Congo-Brazaville dans le cadre des 11es Jeux d’Afrique. «Ki sa ban zistoire to pé écrire là. To pé prend  ban zafer Ritoo », a vociféré l’ancien journaliste du Défi, alors que nous appelions pour avoir le numéro de téléphone d’un entraîneur.  Visiblement, Alwin Sungeelee n’a pas aimé notre information selon laquelle les DTN sont désormais interdits de parole par le MJS. Déjà pour un attaché de presse ne pas être informé de ce qui se passe dans son propre ministère est le signe évident d’une mauvaise… communication, de ce fait Alwin Sungeelee doit à l’avenir bien…s’informer avant de s’énerver.
Mais surtout, il gagnerait à ne pas tout mettre sur le dos des autres 9 mois après son installation à ce ministère. Car l’information qu’il conteste date bien du 3 septembre 2015 et non 2014, du temps de Devanand Ritoo. mais ce qui est encore plus grave, c’est que de l’aveu même d’Alvin Sungeelee, son ministre Yogida Sawmynaden n’est pas au courant de cette lettre. Bonjour… l’ambiance au MJS
En passant, il faut aussi dire: bonjour la transmission d’informations des résultats des athlètes mauriciens au Congo-Brazaville. Dans cette équipe du ministère de la Jeunesse et des Sports beaucoup gagneraient à prendre en considération  le fait qu’ils ont fait le voyage de Maurice au Congo-Brazaville aux frais des contribuables et qu’à ce titre, ils ont ne serait-ce que le devoir de répondre à leur téléphone, comme c’est le cas de Ranjeev  Boodnah ou qui, comme Dev Aychoubur , passe la balle à son voisin aussitôt qu’il a décroché ou qui ne sait rien, absolument sur les «whereabouts» des éléments de l’équipe de Maurice.
Pourtout, ils ont quitté Maurice avec des titres ronflant de responsable en tout genre, mais une fois au Congo-Bazaville, ils oublient vite leurs obligations.

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