BIENNALE DE VENISE : Pour en finir avec les caquètements …

Chers Lecteurs,
après le temps pris par Krishna Luchoomun pour pondre, ce samedi dans Forum, une lamentable lamentation en guise de réponse à notre mise au point du 30 avril, il prend comme prétexte qu’elle est signée par I. Ganti et F. Ghanty, donc antérieure à la Conférence de Presse du 23 avril, que c’est pour ça qu’il exclut Ennri Kums de sa présente prose pitoyable. Prétexte usé jusqu’à la corde, par d’autres plus coriaces, depuis longtemps pour tenter de diviser. Mauvaise tactique, Ennri Kums est bien là. Luchoomun  s’obstine à raconter ses contre-vérités et ses histoires de basse-cour qui n’ont aucun lien avec l’Essentiel. A cette allure il lui faudrait 100 ans, et encore, pour enfin répondre à cet Essentiel, c’est-à-dire sa participation en compagnie de sa femme, des membres de son association et de ses amis à la 56e Biennale de Venise.
Toujours sur le même mode opératoire, il parle d’autre chose pour détourner l’attention, pour ne pas répondre à ce que nous qualifions d’anomalies, pour taire les vérités qui le dérangent. Il est incapable de réfuter l’argument que lui et son association sont juges et parties, qu’il y a conflit d’intérêts avérés dans cette participation. Nous jetons à la poubelle tout son bla-bla égocentrique et sans intérêts. Nous nous en foutons comme de l’An 40 de toutes ses fadaises ! Nous refusons d’entrer dans son petit jeu sur des évènements sans relations avec la 56e Biennale. La vérité c’est qu’il continue de croire qu’il berne les lecteurs et le monde artistique mauricien.
Répétons encore que nous sommes catégoriques, Ismet Ganti n’était pas invité par Luchoomun pour Tabula Rasa, mais imposé par M. Fred Constant, alors Conseiller Culturel près l’Ambassade de France! Il continue de nier avoir utilisé les Armoiries de Maurice, les faits sont têtus (voir un extrait du document hors-texte).
Nouvelles pièces à joindre au dossier : 1. Luchoomun s’apitoyait dans la presse de n’avoir pas eu de soutien de l’Etat, faux puisqu’il a obtenu l’autorisation d’utiliser l’appellation Pavillon Mauricien ; et 2. Il écrit que son association est mandatée par le Ministère des Arts et de la Culture, faux parce que nous savons que l’ex-Ministre des Arts et de la Culture, Mookesshwur Choonnee, avait finalement référé sa demande à la National Art Gallery, à qui il fait porter la responsabilité, parce que c’est par cette dernière que Luchoomun  se fera octroyer l’autorisation en octobre 2014. Notons en passant le silence assourdissant de M.Choonee.
Mais au-delà de tout ce qu’il répète ad nauseam, encore plus triste c’est le contenu de cette participation faite de rafistolages de vieux machins, entre autres du linge étendu sur une corde, des nids d’oiseaux revus et corrigés pour illustrer leurs « From one citizen you gather an idea ». Quel citoyen et quelle idée ?  C’est ça l’image, la vitrine de Maurice ? Il ne recule devant rien l’instit ! Il trouve ça historique ! AH ! Art Contemporain, que de crimes commis en ton nom ! C’est la Honte pour  les Artistes, pour l’Art et pour l’Etat de notre malheureux Pays !
Tout est dit ! Ce minable petit feuilleton doit s’arrêter là ! Nous n’allons pas perdre notre temps précieux à répondre à ses sottises, nous préférons le consacrer plus utilement à des choses saines, la création artistique d’abord.
Bien à vous !

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