« Cette décision est injuste », a affirmé Arvin Boolell qui manifestait hier, mardi 27 juillet devant le Parlement. Il contestait huit semaines de suspension en sa personne à l’Assemblée nationale suivant des incidents l’opposant au Speaker.
Pour le chef de file du Parti Travailliste, cette manifestation est symbolique. Il soutient que cette suspension est « arbitraire et excessive ».
« Cette politique où il y a le bâillonnement de la démocratie parlementaire et une mainmise sur les instituions, il faut que cela cesse », a-t-il ajouté.
Ce dernier laisse entendre qu’il sera présent devant le parlement pendant les sept semaines à venir en signe de protestation.