Le sort des squatters dénoncé à la Commission des droits humains

Bruneau Laurette, activiste social, a rapporté l’affaire des squatters devant la Commission des droits humains. Un dossier a été mis sur pied pour dénoncer les conditions dans lesquelles ces familles ont été délogées.

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Sollicité ce matin, lundi 6 juillet, Bruneau Laurette fait ressortir que « ma cause est pour l’aspect humain ». Il s’élève contre l’Etat car la démolition des maisons a eu lieu durant le couvre-feu.

« C’est une ‘forced eviction with no alternative given’. Les droits de la femme et des enfants ont été bafoués. L’Etat doit respecter les droits fondamentaux, ce sont des êtres humains ».  

Il précise également que le bureau des droits de l’homme à Genève est déjà au courant de cette affaire et l’activiste est déjà en pourparlers avec des hommes de loi. « Il faut prendre en considération les cas ‘genuines’ », ajoute-t-il.

Ils sont plusieurs familles à dormir sous des tentes à Pointe-aux-Sables et Riambel, toujours dans l’attente d’un changement.

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