Rose-Belle : bagarre familiale à l’hôpital Nehru

Des policiers affectés au poste de l’hôpital Nehru, à Rose-Belle, ont dû intervenir hier pour mettre fin à une bagarre entre les membres d’une famille. Des coups ont en effet été échangés devant la salle d’admission pour hommes. Dans sa déposition, un entrepreneur âgé de 26 ans déclare qu’il avait accompagné sa sœur, âgée de 33 ans, et sa mère à l’hôpital pour rendre visite à un neveu qui était sous observation. Mais alors qu’il attendait sa sœur sur un banc à l’extérieur de la salle, il a vu son ex-beau-frère et un autre homme arriver. Les anciens époux ont alors commencé à se disputer sur l’état de santé de leur fils. Le jeune homme est intervenu pour aider sa sœur et pour calmer la situation.

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Selon lui, son ex-beau-frère a mal interprété son action. Ce dernier et l’autre personne qui l’accompagnait ont violemment poussé sa mère à terre. La sexagénaire est tombée sans connaissance. Entre-temps, le plaignant dit avoir reçu un coup de poing au visage et, en trébuchant, les agresseurs présumés l’ont roué de coups. Finalement, il doit son salut au personnel soignant et à des policiers qui sont intervenus. Mère et fils ont été conduits en salle de consultation. Leur état de santé n’est pas jugé grave. L’entrepreneur dit ignorer l’identité de la deuxième personne et a porté plainte pour agression. C’est sa sœur qui a donné plus de détails à la police sur cet incident. Elle déclare qu’elle vit séparée de son époux qui, selon elle, est un toxicomane. Selon la trentenaire, son ex était en compagnie d’un cousin.

À un moment donné, les deux suspects ont fait des commentaires déplacés à son égard. C’est alors que son frère est intervenu et il a été agressé. Après l’agression, la trentenaire a déclaré à la police que son ancien compagnon lui avait lancé : « Si mo trouv twa lor simin mo eklat twa, mo bril lasid lor to figir. » Connaissant la nature de son ce dernier, elle dit craindre pour sa sécurité. Après qu’elle a porté plainte pour menaces, la police lui a donné des détails concernant un “Protection Order”. Elle dit souhaiter aller de l’avant avec cette option. Les deux suspects sont eux recherchés par la police. L’enquête se poursuit sous la supervision de l’ACP Ramsurrun.

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