Débats | Changement climatique et taxe carbone entre autres

LETTRE OUVERTE - M. le Premier ministre, et vos conseillers en la matière présentée ci-après

Tout en m’adressant à vous, je vais de même rappeler aux lecteurs la chose suivante. En prenant un angle épistémologique, je signalais dans un premier texte que l’écologie pessimiste n’est représentée et menée que par trois entités sur le plan mondial, à savoir l’ONU, l’Union européenne et les principaux médias. Le deuxième texte concernait le marché de l’énergie, dont les énergies renouvelables intermittentes n’en font pas partie, qu’il fallait se poser la question, donc, pourquoi celles-ci ont absolument besoin de subventions d’État pour exister. Les trois autres, que je n’ai pas fait publier, étaient, en un ; montrer que toutes les grandes prédictions se sont révélées fausses jusqu’ici, dont le cas Stuart Dimmock, qui a remis en question en 2007 des prédictions du prédictologue Al Gore (neuf erreurs avaient alors été mises en exergue par un juge de la Haute Cour de Londres) ; en deux ; No Consensus, car il faut savoir qu’il n’y a absolument pas de consensus planétaire : la pétition d’Oregon est un des exemples. De même, il y a des centaines de conférences et livres avec des labels tels « L’Ecologisme, nouveau totalitarisme ? », « L’Urgence climatique est un leurre », « L’Imposture climatique », « Climat, mensonges et propagandes », « la Manipulation du changement climatique ». Et qu’il faille aller sur les médias de réinformation pour s’en rendre compte. Et enfin ; quelle manipulation pour quel but est au cœur de toute cette fausseté globalisée. Parmi les meilleurs apports à la clarté, citons celle où l’ancien ministre français Luc Ferry dit publiquement dans une vidéo (1mn50 à 4mn15) accessible sur YouTube que Jean Jouzel (GIEC) lui a confié qu’on est sur un plateau depuis 1998 ; et qu’il n’y a pas de hausse significative de température depuis. Seulement ceux qui boivent ce que disent les écologues alarmistes, futurologues, collapsologues, catastrophistes, urgentistes, réchauffistes ne savent pas cela. Car effectivement il n’y a aucun réchauffement significatif depuis 1998.

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Après leur glissement sémantique qui n’en finit pas : dérèglement, réchauffement, changement, urgence ; les escrologues du climat oublient, par exemple, que le trou d’ozone sur l’Arctique s’est mis à se résorber et que le lac Tchad se remplit. Ces idéologues vont quand même jusqu’à proposer, sans vergogne, l’arnaque à la taxe carbone. Parce que c’est bien d’une arnaque qu’il s’agit. La République de Maurice ne devrait avoir rien à faire avec ces gens-là.

L’hémisphère sud n’est absolument pas l’hémisphère nord en matière de météo et surtout de climat. Nous n’en subissons pas le même effet au sud. Le climat est utilisé par l’Union européenne pour tenter d’appliquer plus de normes sur les peuples. C’est pour cette raison qu’il faut laisser cette écologie, qui ne s’applique pas à nous, aux Nordistes et ne pas l’amener vers nous. Récemment, au sein de l’Union européenne, il a été brandi que ce serait du 100% électrique à partir de 2035. C’est en Europe que ça se passe, et que ça y reste. De leur stratégie, les Chinois se frottent les mains : ils vont leur vendre l’électrique et se faire de l’argent en les regardant se noyer dans de lourdes contraintes, quotidiennes de surcroît.

En partie, l’Europe est, économiquement, dans son optimisation. Donc apprenons de l’économiste anglais né en 1772 David Ricardo : « Une fois l’optimisation complétée, arrivent les normes ». Tant que nous sommes à nous développer, les normes arrivent par à-coups. Une fois le développement, selon le secteur d’activité, souhaité atteint, les fonctionnaires n’ont alors plus grand-chose à faire que de penser à une norme à appliquer ici, et une autre là demain. C’est pour dire que leur développement aux Européens (UE) n’est pas le nôtre, que leur optimisation n’est pas la nôtre puisque nous sommes encore à nous améliorer, à monter palier après palier. Par conséquent, nous n’avons pas à appliquer leurs normes chez nous.

Je disais plus haut que l’écologie ne concerne que trois « enseignes ». Les écologues, quand on regarde de très près, ne pèsent pas grand-chose. S’ils étaient à la tête d’un gouvernement, ça se saurait. Et quand on continue à regarder de très près, il y a environ 850 millions d’humains à sortir de l’extrême pauvreté, il y a également ces petites centaines de millions qui attendent derrière la porte de sortir de la précarité pour passer dans la classe moyenne. Et il y a cette grande majorité, cette classe moyenne qui ne voudra perdre aucun de ses acquis. Tout ceci repose sur une question d’énergie que nous disposons, disposerons. Tout le reste n’est pas réaliste car le PIB du pays, de tout pays, est strictement proportionnel à la quantité d’énergie que notre économie est capable de mettre en œuvre, avec une contrainte des plus infimes. De plus, le centre du monde a tout juste commencé à se déplacer. Ainsi, avec une relance sérieuse de l’Indian Ocean Rim (in L’Ile Maurice et le Market Socialism) dont nous avons détenu le secrétariat, Maurice aurait une belle carte à exploiter pour son bien-être par le biais d’assurer sa sureté en approvisionnement énergétique, et, par extension, des échanges commerciaux intéressants, en compagnie des nombreux pays du pourtour de l’océan Indien et plus. De l’Afrique du Sud à l’Australie, en passant par l’Inde, l’Arabie Saoudite, le Vietnam, etc.

Quant à cette question d’énergie, voici ce que j’ai dit à mon fils le plus sérieusement du monde, avec une dose d’ironie : Utilise le diesel à fond car il est facilement accessible, performant, et ne comporte pas de contrainte. Fais-en un devoir en l’utilisant à volonté afin de ne rien laisser aux générations futures car il paraît que ce n’est pas bon. Elles trouveront bien autre chose.

M. le Premier ministre, et si…

Le propre du climat est de changer, pour qui veut bien l’admettre. Il y a plusieurs facteurs qui mènent à cette évolution cyclique (mis en études, ils sont pluridisciplinaires) : sans être exhaustif ; des disciplines telles la physique, l’astrophysique, la climatologie, la météorologie, les mathématiques et les statistiques, la géoscience pour l’observation. De même, sans être exhaustif ; les océans, nuages (dont on ne sait pas suffisamment), l’impact des taches solaires, les vagues magnétiques, pour les complexités ; le courant marin, El Nino, les activités volcaniques, les vapeurs d’eau et le gaz carbonique, les multiples températures autour du globe à la même minute sont également parmi les études qui sont utiles pour les corrélations.

Mais c’est du côté du soleil qu’il faudrait avoir l’œil. Notre astre est un astre variable et ce sont ses taches qui dénotent ses maximum et minimum; après s’être basé sur une moyenne. En voici la tendance : nous sommes entrés dans le cycle 25 du soleil. S’il est attendu une activité des taches à la hausse fin 2024 et premier trimestre suivant, le soleil devrait présenter bien moins de taches par la suite quand il rentrera dans son cycle 26-27 (V.Zharkova), qui sera peut-être nommé le minimum d’Eddy pour cette raison. Ce qui influera sur les températures, à la baisse, légèrement en hémisphère nord et un peu moins impacté au sud. Qui pourrait le savoir : et si… l’astrophysique et les mathématiques tenaient la route ?

Comme dans une fiction romanesque, j’ai envie de dire que si j’ai tort, je veux bien que je sois pendu. Mais si je n’ai pas ce défaut, ce sont les individus et organismes qui n’ont eu, n’ont de cesse de faire porter à la société un fardeau principalement psychologique et sociétal en leur instillant, ou en alimentant une peur, que l’on devra pendre haut et court.

Enfin, je souhaiterai de nouveau présenter, pour clore ces lignes à votre attention et à l’attention de vos conseillers en la matière, les déclarations suivantes, présentes dans le premier texte qui a paru. « Il n’y a pas de climat global, donc il n’y a pas de réchauffement global (Marcel Leroux, climatologue) » ; « Bien-sûr qu’il y a un changement climatique, il existe depuis le début des temps (Patrick Moore, ex-membre fondateur de Greenpeace) » ; « Obama, vous vous fourrez le doigt dans l’œil avec le réchauffement climatique (Ivar Giaever, prix Nobel) » ; « Le changement climatique politico-généré (Prof. Dr Werner Kirstein) » ; « Le changement climatique est un hoax inventé par l’ONU (Maurice Newmann, ancien conseiller de Premier ministre australien).

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