Rose-Hill – Bullying : Un enfant (7 ans) apporte un couteau en classe

Cet enfant de sept ans est considéré comme la terreur de son établissement primaire, à Rose-Hill, en raison de son comportement envers les autres enfants, et même les enseignants. Une enseignante (46 ans) a ainsi logé une Pre-Measure à la police mercredi, disant en effet craindre pour sa sécurité.

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Elle explique qu’elle avait pris son nouveau poste au sein de cet établissement primaire en juin 2022 et qu’elle était responsable de 23 enfants de Grade 1. Après une longue absence, le petit garçon a repris le chemin de l’école vers la fin du troisième trimestre, dit-elle. Au grand dam de ses condisciples, envers qui l’enfant a « un comportement étrange », dit-elle. Ajoutant qu’il « tourne ses yeux » et « prend une voix de film d’horreur » pour faire peur à ses camarades de classe.

L’enseignante dit avoir rapporté le cas au maître d’école, qui s’était ensuite adressé à la classe et à l’élève perturbateur. Mais ce dernier n’aurait pas changé de comportement et continue d’importuner ses camarades. Faisant ainsi réagir leurs parents, qui s’en retournent vers l’enseignante.

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Cette dernière a expliqué à la police un incident survenu en classe. Un écolier aurait ce jour-là interpellé le petit garçon, qui ne cessait de le piquer avec l’extrémité d’un couteau. La quadragénaire dit avoir immédiatement saisi l’objet tranchant pour le remettre au maître d’école, qui avait alors retenu l’écolier dans son bureau plusieurs heures avant de le renvoyer en classe. Autre cas, survenu cette fois le 18 mai : cette fois, l’enfant avait amené un briquet pour « faire peur à ses camarades ». Fait qui aura encore été rapporté au responsable de l’établissement.

Et l’enseignante de préciser que le perturbateur « amène souvent des objets bizarres en classe », comme des jouets cassés, et qu’il « perturbe les cours ».
Le maître d’école a rencontré le « Responsible Party » de l’enfant, qui a promis de le transférer dans un autre établissement. Promesse à laquelle l’enseignante ne croit pas, car ce parent du jeune garçon donnerait « la même réponse à chaque fois ». Le cas a finalement été rapporté au School Inspector de la zone 2. La plaignante, elle, a préféré alerter la police au cas où un enfant devait être blessé durant les heures de classe.

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