La Governement Services Employees Association (GSEA) demande au ministère de l’Education, de l’Education tertiaire, de la Science et de la Technologie d’allouer les fonds nécessaires dans le prochain budget afin de combler 1 188 postes pour répondre aux demandes du système éducatif et assurer ainsi son bon fonctionnement.
Une correspondance vient d’être envoyée dans ce sens au Senior Chief Executive du ministère.
La GSEA a dénombré par corps de métiers le nombre de postes à créer ou à remplir au sein du ministère. Le syndicat note ainsi un manque accru d’Assistant School Superintendents, dont 250 devraient être recrutés. Elle relève par ailleurs le besoin d’embaucher 210 Library Officers, une centaine de General Workers et de Caretakers, 70 Senior Library Officers, 63 Home Economics Attendants, 60 Senior ICT Lab Auxiliaries, 50 Science Laboratory Auxiliaries, 30 School Superintendants, 30 Tradesman et 30 Assistant Tradesman, de même que 20 Educational Social Workers et 20 Educational Psychologists.
Parmi les autres postes à pourvoir, mais nécessitant moins de 20 employés, la GSEA évoque le cas des Library Auxiliaries, Library Clerks, Librarians, Foreman, Assistant Inspectors, Inspectors, Senior Inspectors, Liaison Officers/Senior Liaison Officers, Senior Educational Social Workers, Senior Educational Psychologist, ICT Technician, Senior ICT Technicians, Principal ICT Technicians et Quality Assurance Officer/Senior Quality Assurance Officer. L’association rappelle d’ailleurs qu’elle a déjà fait plusieurs représentations concernant le recrutement ou la création de postes additionnels pour répondre aux besoins de système éducatif.
Outre quelques recrutements effectués, « we have noted with concern that for the major rest, things are not moving », explique la GSEA. Ainsi, en marge du prochain budget, elle écrit : « We are making a most pressing appeal to your ministry to kindly earmark funds so as to ensure that all the posts on which we are accentuating, are created and filled as earliest as possible. »
Le syndicat relève que le manque de personnel au niveau des établissements scolaires et du ministère lui-même entrave le bon déroulement des services et la prestation d’une éducation de qualité.