La Cour suprême a accordé hier, jeudi 2 février, la liberté conditionnelle à Ibrahim Sorefan sur qui pèse huit accusations provisoires de « sexually abusing a child under the age of 16 » et « inducing child to view pornographic performance ».
En effet, le 24 août dernier, le tribunal de Rose-Hill avait accordé la liberté sous caution à cet habitant de Phœnix et lui avait imposé des conditions dont de fournir une caution de Rs 35 000 et signer une reconnaissance de dette de Rs 50 000 sous chacune de ces huit accusations. Il aurait aussi dû se présenter, trois fois la semaine, au poste de police le plus proche de son domicile.
En sus, il aurait dû avoir en sa possession un téléphone doté d’un système GPS pour que la police puisse assurer un Monitoring systématique. Cependant, la décision du tribunal de Rose-Hill allait être gelée après l’appel du Directeur des Poursuites Publiques contre cette décision.
L’orthophoniste Ibrahim Sorefan a obtenu la liberté conditionnelle au niveau de la Cour suprême, avec les juges Rita Teelock et Mohana Naidoo tranchant en sa faveur alors que le DPP avait opposé à une décision en ce sens en date du 24 aout dernier du tribunal de Rose-Hill.
Retrouvez l’article au complet dans l’édition du Mauricien du 3 février.